Toutefois sachez Monsieur de la CSO que derrière cette boutade, outre le sujet de la parité, se cache une légère ironie d'un athlète qui a légèrement l'impression qu'on se moque de lui et qui a préféré rire de cette compétition plutôt que d'en pleurer . Car lorsqu'on fait déplacer un club et qu'on est pas capable de dire aux athlètes 3/4 d'heure avant leurs courses s'il y a des séries et que dans la semaine quelqu'un les avait remises (après les avoir enlevés un jour plus tôt) en qualifiant des clubs sans leur avoir demandé leur avis, alors il oui, il y a de quoi rire...ou pleurer pour ces championnats que vous laissez mourir et aux derniers athlètes qui jouent encore le jeu de venir et que vous prenez de haut. Alors effectivement je vous donne raison, la prochaine fois chacun s'occupera de ses fesses: moi de ma course et vous d'organiser correctement ces championnats.