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Jeudi 28 Août : "Ils ont dit"

Eunice Barber, 6,78 m qualifiée pour la finale à la longueur :

“ L’essentiel c’était de faire comme pour l’heptathlon, c’est à dire un bon saut dès le début. C’est ce que je fais, même si la planche n’est pas très bonne. C’est l’idéal de se qualifier dès le premier saut. Maintenant, je vais pouvoir me reposer et avoir des jambes fraîches pour la suite. Si je peux faire encore un podium, je serai contente. ”


Sarah Walter, éliminée en qualifications du javelot avec 54,31 m :

“ C’était nul. J’étais pourtant bien à l’échauffement, mais mon premier lancer fut une catastrophe, le second un peu moins mauvais. Et arrivée au troisième, il est difficile de se dire qu’on a encore 4 mètres à gagner pour pouvoir se qualifier. En fait, j’étais sur un mauvais rythme tout le temps. J’allais trop vite par rapport à ce que j’étais capable de faire techniquement. Le public du stade poussait si fort… Je pense que l’ambiance peut aider ceux qui ont de l’expérience et qui savent la gérer. Moi, ce fut tout le contraire. Je me suis laissé prendre par l’émulation. J’ai voulu trop en faire, mettre trop de patate dans mes lancers alors que j’aurais dû laisser aller. Mais ce n’est que mon deuxième championnat, et cela viendra forcément. Il est juste dommage que cela m’arrive à Paris. Heureusement que les lanceurs arrivent à maturité tardivement… ”


Florent Lacasse, vainqueur en série du 800 m en 1’47’’21 :

“ Tout s’est très bien passé, ce fut une course tactique au déroulement idéal. Franchement, je ne pensais pas être en forme à ce point. J’espère que cette course ne laissera pas trop de traces, mais j’en avais encore sous le pied à la fin. J’en ai profité pour me faire plaisir. ”


Jimmy Lomba, 6ème de sa série du 800 m en 1’48’’15, éliminé :

“ J’ai fait l’erreur de me laisser enfermer à la cloche, ce qui m’a obligé à fournir des efforts que j’ai payés dans la ligne droite. Mais c’est une super expérience pour moi et pour l’avenir. Le fait que j’aie appris que je courrai très tard ? Quand on veut faire des performances, on n’a pas à chercher d’excuses ou à invoquer de mauvaises conditions. Je me suis préparé comme si j’allais courir. C’est le passé, il faut maintenant se tourner vers l’avenir. Je suis en tout cas très content d’être ici, d’avoir couru devant ce public et ma famille. ”


Muriel Hurtis (4e en finale du 200 m en 22"59) :

“ Je perds la course dans les derniers mètres. Je me suis désunie et j’ai craqué dans la tête et dans les jambes. C’est une énorme déception pour moi. J’y croyais tellement à ce podium mondial. J’étais moins relâchée que lors de mes séries. Mais c’est la première fois que je fais quatre tours dans un grand championnat. Je me sentais bien à l’échauffement. Maintenant, il reste le relais, j’espère que l’on réussira à monter sur le podium avec les filles. ”


Manuela Montebrun (3e du lancer du marteau avec 70m92) :

“ C’est une grand joie d’avoir réussi à rester sur le podium, surtout en France, ici au stade de France. J’étais dans une période de doute à cause de ma blessure (douleurs dorsales) et j’étais inquiète déjà lors des qualifications. Je suis contente de ne pas avoir trop ressenti la douleur aujourd’hui et d’avoir réussi un bon quatrième jet. ”

 

 











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