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Mercredi 28 Juillet : "Ils ont dit"

Myriam Soumaré, 2e de sa série du 100 m en 11’’35 : « Je suis contente. Je ne suis pas du tout quelqu’un de matinal et j’égale mon record de la saison. C’est super pour moi. Il y avait des filles assez rapides dans ma série. J’ai un peu raté mon départ et ma transition. J’ai donc voulu assurer ma place pour ne pas avoir de regrets. Mon objectif est toujours le même pour la suite : me faire plaisir à chaque tour. Je me sens très bien. Je suis pressée de recourir. Je vais essayer de me contenir jusqu’à demain. »

Véronique Mang, 1e de sa série du 100 m en 11’’35 : « Je ne vous cache pas qu’il faudra aller beaucoup plus vite demain. Ce seront des demies aux allures de finale. Je vais rester concentrée sur moi-même. J’avais très envie de courir aujourd’hui. Ça me grattait ! Vivement demain. »



Christine Arron, 3e de sa série du 100 m en 11’’45 : « J’ai ressenti une crampe au mollet gauche en début de course. La poussée a été un peu hésitante avec en plus un temps de réaction pas terrible. Je n’ai pas paniqué. Même si j’avais du retard, j’ai essayé de rester dans mon schéma de course. Je me suis dit qu’il fallait me placer et accélérer. Ça ressemblait un peu à ma série des Championnats de France. Je ne me sentais pas fluide. »

Sophie Duarte, 5e de sa série du 3000 m steeple en 9’42’’33 : « On va commencer par le positif. Je suis en finale. J’ai vu que ça allait passer au temps. J’ai relancé pendant la course pour que le rythme ne faiblisse pas. J’ai ressenti de très bonnes sensations. C’est ce qui m’a le plus étonnée par cette chaleur. Je cours en 9’42 alors que j’étais en 9’38 à l’arrache en meeting cette saison. J’en avais encore sous le pied aujourd’hui. Je remercie la Fédération de m’avoir fait confiance. J’ai remonté la pente, je reviens de très loin. En finale, les compteurs seront remis à zéro. »

Hamid Oualich, 2e de sa série du 800 m en 1’49’’92 : « Je me suis mis devant en début de course. J’étais à l’aise, ça n’allait pas vite : 55-56 secondes au 400. Je me suis fait enfermer bêtement après le premier tour. Ça a démarré comme toujours à 250 m de l’arrivée. Dans la dernière ligne droite, j’ai été obligé de faire l’extérieur pour sprinter. J’y suis allé fort mais j’en ai quand même gardé un peu sous la semelle. »


Stéphanie Falzon, 17e des qualifications du lancer du marteau avec 64,34 m: « Je n’avais jamais été aussi bien préparée. L’échauffement était moyen mais j’étais confiante car la qualification se jouait très bas (ndlr : au vu du premier groupe de qualif). J’ai eu des problèmes de réglages au niveau de la sortie du marteau. Je pensais avoir franchi un cap à Berlin. C’est le retour à la réalité. Les qualifications, je ne sais pas faire. Quand ce n’est pas la technique ni la forme, c’est la tronche. »

Héni Kéchi, 2e de sa série du 400 m haies en 50’’50 : « Le contrat est rempli, c’est l’essentiel. Il fallait être très prudent. Un vent énorme s’est levé et il fallait donc en garder pour la fin pour rester en quinze foulées jusqu’au bout. Je termine deuxième. L’Ukrainien qui me devance est le quatrième meilleur performeur européen. Je ne pouvais pas faire bien mieux. Demain, il faudra prendre des risques. Il n’y a pas une marge énorme pour entrer en finale. Je vais devoir certainement réaliser mon meilleur temps de la saison. »

Fadil Bellaabouss, 2e de sa série du 400 m haies en 50’’32 : « Ça a été dur, dur, dur. J’ai ressenti à l’échauffement une grosse douleur. Ça ressemble à une pubalgie. J’ai fait un seul passage de haie et ça a tiré « fois 10 ». C’est la première fois de ma vie que j’entrais dans la chambre d’appel les larmes aux yeux. J’ai eu le temps de me remobiliser. J’ai pensé à tous ceux qui me soutiennent. Au 200 m, j’ai vu que les mecs étaient largement devant moi. Mais j’ai la chance de venir du 800 m et je suis revenu sans trop de difficultés. Là, je vais fuser aux soins. Je reste un homme, pas une machine. Je serai demain au départ des demi-finales. »

Sébastien Maillard, 3e de sa série du 400 m haies en 50’’73 : « La première barre est réussie. Ces qualifications étaient normalement une formalité. Mais ça a quand même été assez dur. Le temps était lourd et je me rends compte que j’en souffre. Ça me plombe. Le chrono n’est pas flamboyant. En demi-finale, il faudra bananer, ne pas calculer du tout. Je pense que j’en ai encore sous le pied. »


Virginie Michanol, 4e de sa demi-finale du 400 m en 52’’37, éliminée : « C’est l’arrivée qui m’a manquée. J’ai été devant jusqu’aux toutes dernières foulées mais l’Italienne casse sur la ligne. Le temps est bon par rapport au couloir un. J’ai suivi les instructions de François (Pépin) et j’ai réussi à les appliquer jusqu’au bout. Mais il y a aussi de la frustration. Doha m’a servi de leçon. Aujourd’hui, j’ai pris les choses en main. C’était difficile à la corde mais je ne me cherche pas d’excuses. J’ai essayé. »

Muriel Hurtis-Houairi, 3e de sa demi-finale du 400 m en 51’’97, qualifiée :
« Ce n’était pas une demi-finale facile. J’avais la Russe en point de mire. Il fallait me caler sur elle et ne pas perdre le décalage avant le deuxième virage. C’est ce que j’ai essayé de réaliser. Après, j’ai fait ma course. La dernière ligne droite a été très difficile. Je me suis arrachée. Je suis épuisée et vidée. Il me reste encore beaucoup de travail pour les années à venir. En finale, je n’aurai rien à perdre. »

Leslie Djhone, 2e de sa demi-finale du 400 m en 44’’87, qualifié : « Je suis satisfait. J’avais décidé pour une fois de partir très vite. Je n’avais pas le choix en étant placé entre Martin Rooney et Jonathan Borlée. Je le paye un peu sur la fin. Dans les cinquante derniers mètres, je fais des erreurs au niveau des appuis. C’est une course qui me donne confiance. Je vais maintenant devoir bien récupérer. »


Teddy Venel, 5e de sa demi-finale en 45’’55, éliminé : « Le chrono est bien. Mais je suis quand même très déçu de ne pas être dans les huit, surtout en ayant réalisé le huitième temps des demi-finales. Le niveau européen est relevé mais je m’y attendais. Je m’étais entraîné pour. Je suis pas mal parti. J’ai essayé de ne pas me brûler les ailes et de revenir sur Gillick pour faire le deuxième virage avec lui. Je me suis accroché mais, dans les cinquante derniers mètres, j’ai commencé à peiner. Et les autres ont poursuivi leur effort. »

Martial Mbandjock, médaillé du bronze sur 100 m en 10’’17 : « Je suis vraiment satisfait. Je suis content d’avoir quelque chose. Etre quatre en 10’’18, c’est historique je pense. Je me suis battu jusqu’au bout. Je suis fier de mon comportement. J’ai sorti ma meilleure course de la saison en finale. En attendant le résultat, je repensais à tous les athlètes que j’avais vu échouer à la quatrième place. Cette troisième place valide les deux ans que j’ai passé aux Etats-Unis. Ça va être dur de se coucher tôt pour le 200 m. Je sais que je vais prendre du plaisir sur cette distance. Je félicite bien sûr Christophe pour sa performance. »

Christophe Lemaitre, champion d’Europe du 100 m en 10’’11 : « Ça n’est que du bonheur. Je me suis battu pour cette médaille. J’ai pris un mauvais départ mais je n’ai rien lâché jusqu’au bout. J’ai fait mon taf. J’ai été obligé d’attaquer comme un fou pour remonter. Ça a été dur de revenir. J’étais concentré sur ma course. Je n’ai pas tout de suite remarqué que j’avais gagné. Je ressens de la joie et de la fierté. C’est une revanche sur Berlin. Je me suis vengé. J’ai cassé comme un dingue pour être sûr d’avoir gagné. Je suis chaud pour le 200 m. Je n’ai rien senti dans les jambes. Je suis prêt à réaliser l’exploit. »

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