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Samedi 31 Juillet : "Ils ont dit"

Imaad Hallay, membre du relais 4x100 m, vainqueur de sa série en 39’’12 : « Je suis heureux. On a bien assuré, en prenant des marques sages. Ça s’est super bien passé. On a évité l’écueil dans lequel sont tombés les Anglais. On a couru le matin. Ça n’était pas évident de se mettre dedans. Il y a une bonne ambiance dans l’équipe. On a envie de faire comme ceux qui ont déjà couru en individuel. Il y a une dynamique sympa. On est une bande de potes. L’objectif commun, c’est la gagne. »

Jimmy Vicaut, membre du relais 4x100 m, vainqueur de sa série en 39’’12 : « Le but était de passer en finale. Je prends et je donne le relais très mal, je cherche la main de Pierre-Alexis (Pessonneaux). Je reviens des Mondiaux juniors. Au début, ça a été dur physiquement. Mais j’ai eu le temps de récupérer.»



Pierre-Alexis Pessonneaux, membre du relais 4x100 m, vainqueur de sa série en 39’’12 : « Ça fait un joli ménage. On voyait les Italiens s’entraîner depuis plusieurs jours. Ils étaient à fond dedans. Les Anglais avaient un gros potentiel. Eux en moins, c’est ça de pris. On va jouer la première place en finale. On n’assurera pas.»



Véronique Mang, membre du relais 4x100 m, 3e de sa série en 43’’35 : « On n’était pas dans la série la plus tranquille avec l’Angleterre, la Russie et la Pologne. La transmission avec Céline était bien réglée. A l’échauffement, on n’avait eu besoin que d’un seul passage. Maintenant, il ne faut plus se poser de questions. Ce relais m’a mis en jambes avant le 200 m. »


Céline Distel, membre du relais 4x100 m, 3e de sa série en 43’’35 : « On a le quatrième temps, c’est bien. J’ai plutôt bien démarré même si je ne suis pas une grande vireuse. La pression était là mais je me suis fait super plaisir. C’est toujours difficile de faire un pronostic pour la finale. Mais le potentiel est là



Yannick Fonsat, membre du relais 4x400 m, 4e de sa série en 3’05’’52 : « On a eu un peu peur. Mais le principal, c’est d’être passés en finale en ayant pu préserver nos deux leaders. Demain, tout le monde aura envie de tout donner. On est une équipe jeune. On va avoir faim. J’ai pris un peu plus de risques que d’habitude puisque je courais pour l’équipe. »


Yoann Decimus, membre du relais 4x400 m, 4e de sa série en 3’05’’52 : « On savait qu’on était tous les quatre attendus. Ça passe même si on s’est fait une grosse frayeur. Ma saison n’a pas été facile. On m’a accordé de la confiance. Je me suis bien senti même si la dernière ligne droite a comme toujours été difficile. »



Mame-Ibra Anne, membre du relais 4x400 m, 4e de sa série en 3’05’’52 : « C’était ma première course dans la cour des grands. C’était enrichissant. J’ai beaucoup appris tout au long de cette semaine en regardant les grands, comme Leslie Djhone qui est toujours un modèle. Je suis connu pour mes départs assez lents. Aujourd’hui, je me suis mis au service de l’équipe et j’ai tout donné. C’est mission accomplie. J’espère qu’on tirera un bon virage à l’extérieur en finale. »

Marie-Angélique Lacordelle, membre du relais 4x400 m, 3e de sa série en 3’29’’25 :  « Je suis très satisfaite. J’étais devant à l’aveugle. Ça m’a un peu stressée car c’était la première fois que ça m’arrivait en relais. Je me suis donnée à fond. Je me suis arrachée pour faciliter le boulot des autres filles. On a travaillé pour aller chercher cette médaille qu’on espère toutes demain. »


Thélia Sigère, membre du relais 4x400 m, 3e de sa série en 3’29’’25 : « Je suis super contente de ce relais. Il est jeune et novice mais on nous a fait confiance. Ça a porté ses fruits. La série était difficile avec les Russes et les Anglaises. On visait la troisième place. Demain, il y aura deux sorties dans l’équipe (ndlr : avec les rentrées de Muriel Hurtis-Houairi et Virginie Michanol) mais elles ne seront pas malheureuses. On a aidé le collectif. On a été six à courir, et on sera six pour une médaille. »

Hamid Oualich, 8e de la finale du 800 m en 1’49’’77 : « J’étais venu ici pour faire une finale. J’aurais aimé faire un peu mieux. Mais il faut relativiser. C’était ma première finale chez les seniors. Je suis satisfait dans l’ensemble de mes championnats. J’ai manqué de fraicheur aujourd’hui. J’ai pourtant tout donné dans la dernière ligne droite. »


Lina Jacques-Sébastien, 5e de la finale du 200 m en 22’’32 : « Je suis vraiment très déçue de ne pas être sur le podium. Battre mon record, c’est une satisfaction. J’étais super motivée. J’ai moins craqué que d’habitude. Je ne suis peut-être pas super bien sortie des starting-blocks. J’aurais dû être en tête à la sortie du virage, ce qui n’a pas été le cas. Myriam, c’est une surprise mais peut-être pas tant que ça. Elle était en 23’’ depuis un bout de temps. Ça allait forcément descendre un jour. »


Véronique Mang, disqualifiée en finale du 200 m : « Ce faux-départ, c’est vraiment un incident. La fatigue nerveuse du 100 m était encore là. La performance de Myriam, c’est quelque chose de grand qu’elle a réalisé dans l’insouciance. 22’’32, ce n’est pas rien, surtout dans une finale d’un grand championnat. »


 

Fadil Bellaabouss, 8e de la finale du 400 m haies en 1’02’’94 : « Là, c’était trop court (ndlr : le temps entre la demi-finale et la finale). Il n’y a pas grand-chose à tirer de cette course. J’avais décidé de relancer dès la fin du premier 100 m. Mais j’ai senti que ça ne servait plus à rien, j’avais trop mal. C’était vraiment très difficile. Mais ça reste de bons championnats. »

Myriam Soumaré, vainqueur du 200 m en 22’’32 : « Le chrono me surprend. Mon coach me voyait déjà une médaille autour du cou. Moi, je pensais juste au podium. Je savais que les cinquante derniers mètres allaient être un peu durs, que j’allais ramer. Mon entraîneur me l’avait dit. J’ai vu les filles revenir. Je me suis dit : ne les laisse pas passer ! Là, je suis sur un nuage. J’hallucine ! »

 

Nouredine Smail, 5e du 5000 m en 13’38’’70 : « Ça a été dur à partir de 450 mètres de l’arrivée. J’ai essayé de me rapprocher de la tête. Il m’a manqué du travail. Les gars devant étaient au-dessus de moi. J’étais là pour apprendre, j’ai appris. Je ne suis pas déçu. J’ai tout donné. Le bilan est positif pour mon avenir. Je pense avoir couru comme il le fallait. J’ai manqué de jus sur la fin. J’aurais peut-être dû être plus patient… »


Renaud Lavillenie, vainqueur du saut à la perche avec 5,85 m : « J’ai eu une petite pression à 5,60 m. Il ne fallait pas passer à travers. Je me suis obligé à prendre une perche plus dure, celle avec laquelle je passe 6 m. Au premier essai à 5,75 m, j’étais endormi. A 5,80 m et 5,85 m, je passe au métier. Je ne fais quasi aucune faute. Je ne suis pas le numéro un mondial pour rien. Il fallait que je m’appuie dessus pour leur en mettre un coup. Je suis resté un peu sur ma faim à 6,02 m. Ça n’était pas un problème de hauteur. Il y a eu une petite perte de vigilance car je savais que c’était gagné. Au moins, cette fois, je suis content. A Berlin, c’était super. Mais je voulais gagner. »

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