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Réactions du Dimanche 18 Août

Teddy Tamgho, champion du monde du triple saut avec 18,04 m :
« Ca a été très dur aujourd’hui. Le concours était hyper relevé. Après mes 17,65 m, j’ai compris que quelque chose pouvait se passer. Je n’ai jamais eu autant de pression. Pendant le concours, je regardais ma mère qui commençait à s’inquiéter. Le Cubain me répond avec 17,68 m. C’était un avertissement. J’ai mordu la moitié de mes sauts à plus de dix-huit mètres. Je savais que ça pouvait passer. Pour l’instant, je pense à ma victoire. J’attendais ce moment depuis deux ans. J’ai connu des blessures, des convalescences. J’ai dû aussi mûrir pour être beaucoup plus calme et contrôler mon énergie. Succéder à Ladji Doucouré (ndlr : comme champion du monde français en individuel), c’est quelque chose d’énorme. Je suis tellement perché ! Mais ce n’est pas encore le plus beau jour de ma vie. Il y a des choses beaucoup plus importantes que le sport ! »

Stella Akakpo, avant d'apprendre la disqualification du 4x100 m :
« J’étais très stressée en chambre d’appel. Myriam m’a dit d’arrêter de regarder nos adversaires. On décroche l’argent mais je ne m’en rends pas compte pour l’instant. Ce résultat est le fruit d’un travail collectif. Nous sommes un peu partagées dans la joie suite à la blessure de Céline (Distel). Après les séries, notre 42’’25 était déjà énorme. On savait tout pouvait arriver en relais. »


Myriam Soumaré, avant d'apprendre la disqualification du 4x100 m :
« Nous n’avons pas voulu faire un tour d’honneur sans Céline. Plus les heures vont passer et plus on va réaliser qu’on a fait un truc de fou. Nous n’étions pas sûres de venir ici à la base. Mais les autres filles n’avaient rien de plus que nous. En chambre d’appel, on a suivi la fin du concours de Teddy (Tamgho). On s’est dit qu’on voulait aussi faire ce tour d’honneur. Sans lui, on n’aurait peut-être pas été sur le podium. Notre travail a payé ! On va la faire, la fête, ce soir ! Ca va être une tuerie ! »

Ayodele Ikuesan, avant d'apprendre la disqualification du 4x100 m :
« Mon passage avec Céline est limite, limite… Elle me donne vraiment le témoin au bout lorsqu’elle se blesse. On perd quelques centièmes. Je suis très contente. On remercie aussi les remplaçantes. Après la série, quand on a vu le chrono, on s’est dit qu’on était en forme.. »

 

Florian Carvalho, 11e de la finale du 1500 m en 3’39’’17 :
« Il y a forcément un peu de déception mais j’aurai acquis beaucoup d’expérience lors de cette finale. Cela me prouve qu’il faut encore travailler. J’espère réduire le fossé avec les meilleurs dans deux ans. J’ai été dans le coup jusqu’aux deux cents derniers mètres. Aux cent cinquante, l’Allemand me bouscule un peu, je vois les autres partir. La tête lâche et les jambes ne suivent plus. A part le fait que je ne suis pas finaliste, je ne retire que du positif de ces Mondiaux. L’enchaînement des courses a joué mais ça n’est pas une excuse. »

Arnaud Rémy, 6e de sa série du 4x100 m en 38’’97 avec l’équipe de France :
« Jimmy s’en veut un peu. Il dit que c’est une erreur de débutant mais je ne pense pas. Il fallait prendre des risques en grand championnat. On était dans le coup jusque-là. C’est dommage, on est déçus et on s’en veut. Cette finale était abordable. »



Jimmy Vicaut, 6e de sa série du 4x100 m en 38’’97 avec l’équipe de France :
« J’ai anticipé, je ne sais pas pourquoi. Je m’arrête, je repars. J’essaye de revenir sur les autres mais c’est impossible. C’est ma faute. Je n’aurais pas dû anticiper. Dans ma tête, je me suis dit : vas-y, pars ! »

 


Emmanuel Biron, 6e de sa série du 4x100 m en 38’’97 avec l’équipe de France :
« Le dernier passage a été le plus optimiste (sic).On savait qu’on devait rester prudents et sur de bonnes marques. On a dû faire les réglages pour le 4x100 m presque sans Jimmy, puisqu’il était engagé sur 100 m et 200 m. On a manqué le rendez-vous mais c’est le jeu. On a peut-être un peu manqué de self-contrôle avec cette atmosphère de grand championnat. On voulait prouver que, même sans Christophe (Lemaitre), on était en mesure de qualifier le relais en finale. On en avait les moyens.. »

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