MES ACCÈS
Nicolas Navarro, 12e du marathon en 2h12’50’’
« J’étais parti pour une place dans les 30. Je me suis pris au jeu au fil des kilomètres. Je ne savais pas trop combien on était. On a ramassé énormément de monde, des gars qui explosaient dès le dixième kilomètre. Quand on est dans cette dynamique, ça booste encore plus, on a des jambes de folie et on s’accroche. J’aurais signé de suite pour une douzième place, je ne peux rien demander de plus. Pour le moment, je ne réalise pas trop. C’est un truc de fou. »
Morhad Amdouni, 17e du marathon en 2h14’33’’
« Je savais que ça allait s’emballer à partir du trentième kilomètre. J’ai commencé à sentir des petites crampes au niveau de l’ischio. A partir du 33e kilomètre, ma tête me disait d’arrêter. Mais quitte à finir en marchant, je voulais continuer et mouiller le maillot. Ça a été de plus en plus difficile. Je pensais faire beaucoup mieux. C’est la loi du marathon. On ne sait pas à quoi s’attendre. »
Hassan Chahdi, 45e du marathon en 2h18’40’’
« J’ai vraiment souffert lors des quatre derniers kilomètres. Je me suis accroché, je tenais à finir. Quand j’ai vu que je n’étais plus dans les clous par rapport à mon objectif, j’ai essayé de profiter au maximum. On avait à cœur de réussir et on a tout donné. »
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