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Nicolas Navarro, 12e du marathon en 2h12’50’’
« J’étais parti pour une place dans les 30. Je me suis pris au jeu au fil des kilomètres. Je ne savais pas trop combien on était. On a ramassé énormément de monde, des gars qui explosaient dès le dixième kilomètre. Quand on est dans cette dynamique, ça booste encore plus, on a des jambes de folie et on s’accroche. J’aurais signé de suite pour une douzième place, je ne peux rien demander de plus. Pour le moment, je ne réalise pas trop. C’est
un truc de fou. »
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