Retrouvez, tout au long de la journée, le récit des performances des athlètes français en lice sur la piste du stade olympique de Londres. Au programme : résultats, réactions et analyses. L’outil idéal pour tous ceux qui ne veulent rien rater des aventures des Bleus chez nos voisins d’Outre-manche.
John Akii Bua a enfin un successeur. Le premier champion olympique ougandais de l’histoire, couronné sur 400 m haies lors des Jeux de Munich en 1972, est désormais accompagné sur les tablettes de l’histoire du sport ougandais par Stephen Kiprotich. Une énorme surprise puisque, avec un temps de référence de 2h07’20’’, cet ex-pistard (27’58’’03 au 10 000 m) était très loin des coureurs kényans au regard des bilans. Le fondeur de vingt-trois ans a patiemment attendu son heure, lors d’une course disputée par un temps très lourd et au rythme très saccadé (deuxième 5000 m couvert en 14’18 !). Toujours dans le groupe de tête, il a produit son attaque peu avant le trente-septième kilomètre. Les Kényans Abel Kirui (2e en 2h08’27), le grand favori, et Wilson Kipsang Kiprotich (3e en 2h09’37’’) ont cédé immédiatement. C’est donc en solitaire et en 2h08’01’’ que l’Ougandais a franchi la ligne d’arrivée en vainqueur, un drapeau de son pays dans les mains. « Le rythme allait trop vite au début, raconte-t-il. J'ai juste suivi et j'ai attaqué quand il le fallait. Je suis très heureux de gagner une médaille pour mon pays. »
Sous le soleil londonien, lors d’une course organisée à un horaire surprenant en milieu de journée, les défaillances ont été nombreuses. La deuxième partie de course a fait énormément de dégâts. Mais deux des Français en lice n’ont même pas franchi le cap du semi. Abraham Kiprotich s’est arrêté au douzième kilomètre, victime de douleurs au dos apparues depuis trois jours. Patrick Tambwe a, lui, cédé un peu avant la mi-course. Quant à Abdellatif Meftah, il a mis le clignotant après le vingt-cinquième kilomètre, alors qu’il était autour de la vingtième place après être parti sur des bases de 2h10. Une course à oublier pour les athlètes tricolores…
arretez de dire n importe quoi . ils ( les 3 ) etaient super motivés, c est pendant la course et pas avt qu il y a eu des problemes pour eux. ils sont tout les 3 trés trés atristé . quand on est completement vidé alors qu il reste encore 20 kilometres a faire , que voulez vous qu ils fassent ??? vous auriez aimer les voir finir en titubant ? et aprés il aurait fallu des mois et mois pour recuperer a ce niveau .l erreur etait dans la preparation.il faut questionner l entraineur en premier!
Roger Lefebvre - 14/08 (11h02)
Si l'on comprend bien, il y a une athlète qui a manqué les Jeux -et la défense d'un titre- pour quelques centimètres (ou décimètres s'agissant du vent) et d'autres qui les ont manqué pour plusieurs kilomètres ! A des critères chiffrés de selection ne faudrait-il pas conjuguer l'appréciation de l'état de forme qq semaines avant l'épreuve ? Question tout aussi valable pour les sauteurs en longueur.
Sarah Croche - 13/08 (20h36)
Je peux savoir qu'a avoir la naturalisation dans le fait d'abandonner une course...donc d'apès vos dires ils auraient été français d'origine a 100% ils auraient fini la course??? Que de commentaires puériles!!! Au fait Jean-pierre apprend d'abord à l'écrire le français et à bien le parler...
Jean-pierre Fouquert - 13/08 (12h07)
inadmissible pourlesmarathonien francais au moins pour deux d entreeux ne pas terminer mais si on ne joue pas pour une medaille c est un manque de respect pour le maillot ils etaiuent trois pas un ne depasse 25km c est une g honte ils n ont plus leur place en equipe de france aux autres jeux meme mal ils ont tjs mis un point d honneur a terminer ceux la sont des gens foutre trois naturalises et rtrois rigolos etanyt t t marathonien et ex triathlete de long je suis scandalise et quand jevois le
Jean-françois Rameau - 13/08 (10h47)
Qu'un athlète abandonne sur blessure c'est compréhensible même si c'est dommage mais ne pas terminer la course car on est plus dans le coup c'est un manque de respect, d'honneur pour l'athlétisme en général et pour la nation. Il faut vraiment revoir le mode de sélection. Prendre les meilleurs certes mais le plus important c'est aussi de prendre les plus motivés. C'est bien beau de naturaliser des athlètes mais pour quel résultat finalement ?
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